Atout
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L'administration du président Trump met fin aux dérogations aux sanctions qui accordent une indemnité à la Russie, à la Chine et aux entreprises européennes.
Cela concerne le travail sur des sites nucléaires iraniens sensibles, à la suite d'une bataille interne entre les faucons iraniens et un groupe plus complexe de partisans de la ligne dure.
Tout cela à l'intérieur du gouvernement américain et a été remarqué par les fonctionnaires et les documents américains.
Les experts rapportent que le président Trump s'est retiré de l'accord sur le nucléaire iranien de 2015 et a réduit l'incitation de Theran à enrichir l'uranium à des niveaux plus élevés.
Même le secrétaire d'État, Mike Pompeo, exerce plus de pression que jamais sur Téhéran.
Pompeo mettra apparemment fin à la dérogation aux sanctions couvrant les projets nucléaires liés au JCPOA en Iran.
Ensuite, l'administration Trump étendra à peu près une toute nouvelle dérogation distincte.
Cela couvrira le soutien international à la centrale nucléaire de Bushehr.
Il s'agit d'une offre de poursuivre l'accord avec l'Iran pendant 90 jours pour aider à assurer la sécurité des opérations à l'usine.
Bien qu'il reste difficile de savoir si les entreprises russes et chinoises cesseront ou non leur implication dans les projets qui surgiront après cette décision.
L'Iran va-t-il encore améliorer son programme est également une question préoccupante.
Eh bien, en vertu de l'accord, que Trump a apparemment retiré de l'Iran en 2018, il est interdit à l'Iran de produire de l'uranium enrichi à 20 % pendant 15 ans.
Mais l'accord garantit que l'Iran pourra importer l'uranium enrichi à 20 % nécessaire au fonctionnement du réacteur de recherche de Téhéran.
L'accord nucléaire implique apparemment également des modifications du réacteur d'Arak.
Cela est nécessaire pour bloquer la voie de l'Iran vers les armes nucléaires utilisant du plutonium.
Les entreprises impliquées dans cet effort de modification ne seront techniquement plus protégées par la dérogation aux sanctions.
L'Iran pourrait réagir à cela en disant qu'il redémarrera la construction sur l'ancien modèle. Ce serait plutôt dans l'intérêt de l'ancien fonctionnaire du Département d'État des États-Unis, qui avait travaillé sur cet accord.
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