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Angelina Jolie a rejoint le débat aux États-Unis avec ses réflexions sur la question de savoir si sa fille sera victime de racisme.
L'actrice de 45 ans a indéniablement exprimé ses craintes que sa fille de 15 ans nommée Zahara soit prise pour cible en grandissant.
Angelina avait adopté Zahara d'Ethiopie avec Brad Pitt mais elle craint d'être maltraitée à un moment donné.
Les tensions raciales sont au top aux Etats-Unis notamment après la mort de George Floyd aux mains d'un policier de Minneapolis.
Les manifestations de Black Lives Matter ont dominé l'actualité à travers le monde.
Sur cette question précise, Angelina a fait part de ses commentaires.
Elle a dit qu'il y a plus de 70 millions de personnes qui ont dû fuir leur foyer dans le monde à cause de la guerre et de la persécution.
Angelina a ajouté que c'est une honte qu'il y ait du racisme et de la discrimination répandus en Amérique.
Elle a dit qu'un système qui la protège mais qui pourrait ne pas protéger sa fille en fonction de la couleur de sa peau est intolérable.
Angelina a dit qu'en tant que pays, nous devons progresser au-delà de la sympathie et des bonnes intentions.
Nous devons nous concentrer sur les lois et les politiques qui s'attaquent réellement au racisme structurel et à l'impunité.
L'actrice américaine Angelina Jolie et ses enfants Shiloh Nouvel Jolie-Pitt et Zahara Marley Jolie-Pitt lors de la première européenne du film Disney Maleficent Lady of Evil à l'Auditorium della Conciliazione. Rome, 7 octobre 2019 (photo de Marilla Sicilia/Archivio Marilla Sicilia/Mondadori Portfolio via Getty Images)
Elle a poursuivi en disant que mettre fin aux abus dans la police n'est que le début.
Cela va bien au-delà, à tous les aspects de la société, de notre système d'éducation à notre politique.
Apparemment, Angelina est envoyée spéciale du Haut-Commissariat aux réfugiés pour les Nations Unies.
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